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Après le 4 d’avril, le 5 de mai… l’aventure commence ?

New Years Eve

L’an 20 a été annoncé depuis longtemps par nombre de personnes comme un changement majeur. En astrologie, la configuration n’a pas été telle depuis des siècles, des millénaires. L’ère du Verseau s’ancre enfin. La Terre a changé de dimension depuis plusieurs mois, passant de la 3D et sa lourdeur à la 5D. Pourtant, dans cette évolution vers la lumière, demeurait l’humanité, ses non-sens et ses aberrations. Un monde gouverné par l’ombre.

Mais comment passer d’un monde à un autre ? Cette entreprise semblait bien audacieuse et ambitieuse. En février, un portail a été ouvert le 02.02.2020 pour se refermer le 22.02.2020. Il nous a offert la réceptivité du 2, des énergies sont venues à nous et tout autour de nous. En avril, un portail tout aussi immense s’est à nouveau ouvert du 04.04.2020 au 22.04.2020. C’est ce que nous avons vécu.

Le 4 est le chiffre de la matière, le chiffre de l’ancrage. La réduction de 2020 nous donne ce quatre mais si nous regardons plus simplement nous voyons le 22. Maître nombre extrêmement puissant, il nous parle justement d’ancrer la lumière dans la matière.

Comment cela pouvait-il être possible ? Le monde n’allait pas s’arrêter de fonctionner du jour au lendemain.

Pourtant, le monde s’est arrêté de fonctionner du jour au lendemain. Tout a été stoppé, arrêté net. Très vite, la nature a repris le contrôle et, en quelques jours, des années de maltraitance ont commencé à s’estomper. Les humains confinés se sont confrontés à une nouvelle situation, une nouvelle donne. Isolés et menacés, les systèmes de valeurs, de croyance ont été mis à l’épreuve.

Seul, face à moi-même, qui suis-je ici ? Quelle est cette vie qui me demande de me réveiller chaque jour à la même heure, pour me rendre à un travail que je n’apprécie pas vraiment en compagnie de personnes que je choisirais peut-être de ne pas côtoyer si… Qui a choisi ? Est-ce moi qui ait choisi ? Il y a des contingences. Des contingences matérielles, un loyer, une maison à payer, une, deux voitures, une famille à nourrir avec des légumes qui viennent du bout du monde, avec de la viande provenant d’animaux élevés souvent dans un déni total d’humanité.

Alors que se passe-t-il entre ces quatre murs où l’on me cloitre ? Est-ce que j’aime encore la personne que j’ai choisie, que je ne vois pas si souvent habituellement ? Qui sont mes enfants et que faire, avec eux, pendant des journées entières ? Ou… pourquoi suis-je seul.e ici ? Est-un choix ou me suis-je planté.e, quelque part, pour ne pas être choisi.e par un.e autre ?

En quelques jours, qui ont paru à certains des années ou ont redonné la joie à d’autres, tout a été réévalué. Alors, que l’on annonce, plus ou moins, le retour à l’avant. Soyons clair. Il n’y aura jamais de retour à l’avant. Alors que les gouvernements annoncent un retour à une norme connue, que va-t-il se passer ?

Sera-t-il possible pour certains de reprendre une vie qu’ils ont découverts vide de sens ? Sera-t-il possible pour d’autres de rentrer, encore, le soir dans ce qu’ils ont vécu comme une prison ?

Qu’est-ce qui se passe ? Que va-t-il se passer ? D’autres forces sont désormais à l’œuvre. Le collectif des Êtres de lumière qui appelait de ces vœux ces changements grandit de jour en jour. Chacun reçoit des messages, des ressentis d’autres mondes, juste à côté. Il faut dire que les présences sont innombrables depuis quelques mois dans cette transition planétaire. La Terre menacée par les humains avait été placée sous contrôle pendant longtemps par d’autres peuples d’ailleurs, plus puissants et plus lumineux, craignant pour la vie même de la planète tandis que les humains jouaient avec des bombes atomiques.

Mondes d’en haut et mondes d’en bas, peu importe, toutes les dimensions, désormais, se mêlent et la lumière, menacée un temps par l’ombre est victorieuse. Comment inscrire cela dans un nouveau quotidien ? Les gouvernants, bien souvent perdus dans l’ombre, ont une dernière possibilité de faire le bon choix. Ce ne sont pas les médias qui donneront les vrais informations évidemment.

Certains gouvernants, dont on n’espérait plus rien, proposent soudain des mesures qui pourraient permettre à beaucoup de sortir du chaos. D’autres, raillés et soumis à l’opprobre publique générée par les médias, œuvrent dans l’ombre pour la lumière.

En fait, il n’est que ce choix, de la lumière ou de l’ombre.
Un choix pour chacun.
Beaucoup partiront donc car leur place n’est plus ici dans la construction d’un monde nouveau.

Et moi, comment, demain, je reprends une vie normale ? A moins que je n’en ai pas envie ?

Après le 4 vient le 5, chiffre de la liberté et de l’aventure.
Le 5 est aussi le chiffre des énergies de la Nouvelle Terre que nombre de ses habitants ont enfin rejoint !
Faites vos jeux, tout va bien !

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je porte le féminin sacré

masculin divin

Je porte le féminin sacré. Mon chemin a été long et douloureux pour y accéder, ici, dans le transgénérationnel, dans le karmique.

De mon enfance, j’ai souvenance du masculin absent, bien que présent au quotidien. J’ai souvenance du masculin violent au moins par les mots, et du masculin inutile au quotidien. J’ai souvenance du féminin puissant qui assume tout et tout le temps. Je suis venu dans une famille dysfonctionnelle comme il y en a tant. J’ai totalement occulté mon enfance pour oublier les abus émotionnels et physiques, les abus sexuels et incestuels.

Je suis resté prostré pendant plusieurs années d’adolescence. Je me suis dirigé vers la psychiatrie car je n’ai pas réussi à mourir. Il me fallait fuir une mère omniprésente et castratrice. Lorsque j’ai coupé ce lien, elle a très rapidement déclenché un cancer. Je suis donc revenu pour l’accompagner dans la fin de son incarnation.

Tous les hommes de ma famille ont subi la violence des femmes. Des hommes amoindris, honteux, alcooliques, suicidés. Accompagnés de femmes héroïques, victimes et fortes. Je connais le pouvoir destructeur de la castration à laquelle j’ai échappé en fuyant.

Nous choisissons la fuite dans la famille, par tous les moyens. Le plus simple étant la fuite de l’incarnation, manque de 4 en numérologie.

Mon père ne s’est jamais incarné, comme tant d’autres. Il a été présent tous les jours, absent constamment. D’autres ont fui devant la peur de souffrir, d’autres ont reproduit un schéma souffrant différent.

A la mort de ma mère, j’ai essayé de créer un lien avec mon père, en vain. Je suis proche de lui, aujourd’hui, dans d’autres plans.

Mon analyse m’a permis d’intellectualiser beaucoup mais ne m’a pas offert la guérison. Il ne sert à rien de comprendre si le corps n’entend pas. Molécules, hospitalisations, j’ai subi l’acharnement psychiatrique, auquel je consentais tout comme cela pouvait se passer dans des vies parallèles, antérieures.

Des ans et des années et je commençais même à être vieux. Je n’étais pourtant pas adulte. Il n’y a aucune gloire à demeurer adolescent tardivement. Cela n’est nullement un signe de jeunesse, de joie ou d’ouverture d’esprit. C’est simplement un signe d’irresponsabilité, d’abandon de son propre pouvoir.

Ainsi, j’étais bringuebalé entre un genre et l’autre depuis la naissance. Je n’avais pas trouvé ma place. Je n’avais pas fondé de ma famille, nullement à cause de mes préférences mais tout simplement car j’étais resté seul. Je quittais ceux qui m’aimaient, et je n’aimais que ceux qui ne pouvaient m’aimer. Je ne voulais prendre aucun risque.

D’un point de vue professionnel, je ne parvenais pas non plus à me construire. J’enchainais les cursus universitaires avec réussite mais ne concrétisait jamais par la suite. Une loyauté familiale m’empêchait de réussir.

Mon errance a duré longtemps. Un burn out salvateur m’a obligé à tout arrêter. C’est lors d’un groupe d’homme que l’éveil est venu et tout est allé beaucoup plus vite. Le temps s’est accéléré. J’ai vu les synchronicités, multiplié les formations – énergétique, médiumnité, numérologie vibratoire, prâna, tantra…

J’étais désormais connecté à mes guides. J’ai été averti de l’existence de la Flamme avant la rencontre. Nous l’étions tous les deux, pas de polarité consciente à la base ici.

Rencontre, nuit noire de l’âme, etc. J’ai tout quitté pour me trouver, tout le monde aussi. Très vite, j’ai appris beaucoup du parcours, grâce à Pascale Montagnac notamment.

Je suis ce que l’on appelle la féminine, dans les guidances. Cela m’a beaucoup énervé au départ mais c’est l’appellation la plus logique pour moi (car pour moi, les deux polarités étaient conscientes à la base et que, bien que chaser, je suis d’énergie Yin)

Le galactique est devenu très présent. Les anges aussi. Michael toujours. Puis Jésus.

Et Marie-Madeleine et il y eut quelque chose de plus car je l’ai reconnue. Comme Isis.

Je suis de cette lignée. Lorsque je me suis renseigné sur ces femmes qui porte le féminin sacré, la sexualité sacrée, j’ai su que j’étais que j’étais de leur rang, que je portais leur énergie, probablement leur ADN.

Le parcours continue. Mes méditations m’emmènent de plus en plus loin. Je me retrouve souvent en Égypte. Mon corps est féminin et porte la vie. Cela est comme cela. Mon chemin est long et le sera encore.

J’ai équilibré le masculin et le féminin en mon corps d’homme, toutefois je porte le féminin divin… et le masculin divin. Aujourd’hui, lors de chaque consultation, j’interviens, d’une manière ou d’une autre, pour aider les Enfants du Verseau. C’est mon nouveau chemin.

illustration : carte Le Féminin, Les Cartes de l’homme nouveau, Jacques Lucas, éditions Le Souffle d’or

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