Septembre nous propose trois portails en 9.9 (formant à leur tour un nouveau 9 en passant par le 18) : le 9, le 18 et le 27. Il est tout à fait possible que ces trois portails n’en soient qu’un seul qui s’ouvrira le 9 pour se refermer le 27. Nous avions ce cas de figure avec les portails de février et ceux d’avril.
Le 9 évoque la fin, le bilan. Fin d’un cycle, étape à franchir, que nous annoncent ces jours à venir dans cette période si particulière que nous vivons depuis plusieurs mois maintenant ?
Cela fait plusieurs années maintenant que les temps sont troubles, mouvants, que tout a commencé. Au fur et à mesure, nous avons été de plus en plus nombreux à le ressentir et à nous éveiller à une vie nouvelle, à une conscience plus lumineuse. Cela continue, cela accélère.
Cela ne fait, en revanche, que quelques mois, que la société se délite, meurt à elle-même. Chaque jour qui passe montre à quel point cette matrice est obsolète, indécente et irrespectueuse du vivant. Entre les dimensions, des enjeux ont abouti – la lumière est appelé à reprendre sa place dans notre quotidien. L’ombre livre ses derniers soubresauts, ils sont visibles dans nos tribulations sociétales et deviennent, chaque jour, un peu plus grotesques. Cela n’est pas si facile à vivre et cela ne le sera sûrement pas davantage dans les prochaines semaines.
Il nous revient de faire le chemin du 9 au 22, de la fin de cette décadence à l’avènement d’un monde nouveau. Passer de ce 9 à ce 22 avant le 1 amplifié par le 0 du mois d’octobre, c’est bien cela. Il faut construire, il faut bâtir. C’est passer de l’ermite au mat, au fou. Il ne faut plus avoir peur car l’aventure se présente et il ne faut pas rater le train…
Entre septembre et novembre, il s’en passera des choses. Nul besoin d’être médium pour le savoir. Pour autant, il est fort probable que nous n’aurons pas l’occasion dans notre vie de vivre une autre période aussi déstabilisante. Et ce d’autant que, nos amis invisibles nous demandent de nous affirmer davantage, d’avancer et de ne pas tout accepter. Il nous invite à plus de discernement, à distinguer le juste du stupide, le vrai du faux. Ce n’est pas celui qui parle plus fort qui a raison, ce n’est pas celui qui est légitimé par un système moribond qui a raison…
Il est temps de prendre ta place, il est temps de dire qui tu es et quels sont tes choix…
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